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TÉMOIGNAGE DE Jean-Luc SCAVIO - DELKO ISTRES

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DELKO ISTRES

Ancien commerçant traiteur

De commerçant traiteur à franchisé DELKO

Je ne viens pas à l’origine du secteur automobile. J'étais dans l'alimentaire avec mon frère : nous avions ouvert ensemble une charcuterie-traiteur. Nous avons travaillé tous les deux pendant treize ans et c'était treize ans de bonheur ! Si je devais le refaire, je le referais.

Suite à cela, on a rencontré Philippe Lannes et un soir, nous avons discuté de l'avenir des garages, car mon frère et moi étions en train de changer d'affaire. Nous avions comme projet d’acheter une affaire plus importante. Nous y avons travaillé pendant environ deux mois, mais cela ne se passait pas comme nous le voulions. Alors un soir, j'ai appelé Philippe Lannes et je lui ai dit que nous allions prendre deux centres, et c'est parti de là !

Notre aventure avec DELKO s'est décidée sur un coup de tête. Au début, je devais l'acheter avec mon frère, mais le vendeur voulait s'associer avec nous et ce n’était pas ce que nous recherchions. Nous sommes partis sur une autre aventure…

Au final, le travail en lui-même est un peu identique à celui de mon précédent métier ! Lorsque j’avais le commerce avec mon frère, j’étais au comptoir : je recevais la clientèle, je les servais et je leur demandais ce qu'ils voulaient. J'ai pu retrouver cela dans le centre auto : je réponds à la demande du client. L’unique difficulté pour moi a été d’être séparé de mon frère. 

Défis des premières semaines 

Quand j'ai commencé la première semaine derrière le comptoir, j’avoue m’être demandé ce que je faisais là ! Ensuite honnêtement, je me suis rapidement imprégné. Il faut dire qu’on est beaucoup aidé : au début, l'animateur de réseau DELKO était avec moi, il a su m’accompagner. Parce que bon, c’est vrai que j'étais parachuté dans ce domaine et je ne comprenais rien ! Il a donc fallu que j'apprenne. J’ai eu la chance d’avoir rapidement trouvé un bon employé en mécanique qui a pu m'apporter une aide considérable. Jérôme travaille d’ailleurs encore ici ! 

L’expérience de la clientèle

Le service de proximité, c’est le cœur de mon activité. J’ai retrouvé chez DELKO cette proximité que je connaissais de mon précédent métier : même si les secteurs sont différents, l’esprit commerçant était le même. Être derrière le comptoir, c’est ce que j’ai toujours fait ! Le commerce, c’est la relation avec le client ; et le contact de proximité : c’est ce que j’aime.

Le démarrage du premier DELKO

À l'époque, mon premier DELKO était déjà un centre auto. L’ancien propriétaire ne faisait pas grand-chose : il ne réalisait pas les embrayages parce que les boîtes à vitesse étaient trop lourdes, ni les distributions parce qu'ils ne savaient pas les faire. J'ai donc mis un peu de temps à démarrer, mais je crois qu’entre 4 et 6 mois ça a bien pris. 

 

La machine était lancée, on a tout simplement appliqué la méthodologie DELKO. Ça roulait comme sur des roulettes et je me suis aperçu que si on n’appliquait pas la méthode correctement, cela ne fonctionnait pas. J'adhère à la méthode et j'en suis totalement convaincu.

Choisir un nouveau chemin professionnel

Ce qui m'a poussé à rejoindre DELKO, c'est avant tout parce que le secteur de l'automobile m'a toujours plu. Bien que je n’aie pas une grande expérience dans la réparation, parce que je n’ai jamais trop eu l’occasion d’en faire, j'avais en revanche vendu des voitures, mais cela restait occasionnel. J'ai un beau-frère qui était là-dedans et l'auto m'a toujours intéressé, donc je me suis ne dit pourquoi pas l'automobile !

Cela a été une opportunité de faire autre chose. À l’origine d’ailleurs, mon premier métier n’était pas charcutier, mais peintre ! Je me suis dit que « Je suis parti dans la charcuterie, pourquoi ne pas partir dans un autre rayon que ce que je fais actuellement ? » Ça ne m'a pas fait peur de partir dans une nouvelle activité, un nouveau métier et le challenge ça me plaît !

Mon épouse m’a rejoint dans le projet 

Comme je l’ai dit, le seul défi que j’ai rencontré, c’était la séparation avec mon frère, puisque quand tu es habitué à travailler à deux sur une affaire, travailler seul ce n’est pas pareil. On se complétait bien, moi je m'occupais d'une partie et lui de l’autre. Tandis que là, il fallait que je fasse tout moi-même. Au départ, je devais gérer la comptabilité parce que mon épouse n'était pas là, donc je faisais les papiers, j’étais au comptoir et je m’occupais des gars. C’était une charge de travail importante, mais pas infaisable puisque je l'ai fait correctement.

Au fur et à mesure que je faisais davantage de Chiffres d'Affaires, il a fallu que je me fasse aider, notamment au niveau de la comptabilité. Mon épouse a vendu son affaire et elle est venue avec moi faire tout ce qui est comptabilité, papiers et retour fournisseur. J’étais soulagé qu'elle prenne en charge cette partie du travail. Ce que je voulais, c'est être au comptoir, pouvoir m'occuper des clients, les rappeler et m'occuper de l'atelier.

Optimisation des services chez DELKO

Dans mon ancien commerce, il fallait qu'on cherche des prix. On avait différents fournisseurs qui venaient pour débattre des prix. 

Avec le service achat de DELKO, je n’ai pas à me soucier de ce problème. Tous les prix sont directement négociés. C'est un confort qui nous fait gagner énormément de temps. Grâce à cette stratégie, on peut vraiment se focaliser sur notre travail.

L’aide de l’animateur réseau à l’ouverture

Je pense que je n’aurais pas pu gérer l’ouverture du garage seul. Venant d’un autre domaine, je ne savais pas comment ça fonctionnait. C’est pourquoi l’animateur réseau a été très important pour moi, il m’a apporté une grande aide. 

Il est resté au moins trois semaines voire un mois avec moi. Il m’aidait surtout au niveau des devis, parce qu’on a tendance à penser que c’est simple, mais ce n’est parfois pas si évident.

Ma relation avec Monsieur Lannes

Entre Monsieur Lannes et moi, ce n’est pas qu’une simple relation. Il sait instaurer une relation de confiance. Ça fait des années que l’on travaille ensemble et honnêtement, aussi bien lui que moi, quand on a eu à se demander quoi que ce soit, ça a toujours été au rendez-vous. On s'est toujours fait confiance l'un comme l'autre.

La confiance en mes employés

Je suis accompagné de mes mécaniciens depuis un long moment. Le premier, Jérôme, nous a rejoint en 2006 lorsque j'ai ouvert Miramas.Il m'a suivi tout au long de mes centres. Le second, Francky, est arrivé un peu après : cela fait tout de même 16 ans qu'il est avec moi. 
C’est une chance de me dire tous les matins que je peux compter sur eux. Je ne me pose pas de questions. Je suis content d'avoir de bonnes personnes !
 

Du lundi au vendredi 

Je suis ouvert du lundi au vendredi. À l'époque, j'ouvrais le samedi matin, mais tout seul du lundi au samedi c’était trop : j'étais trop fatigué. 

 

Honnêtement, depuis que nous avons a fermé les samedis depuis deux ans, je n’ai pas baissé mon Chiffre d'Affaires. Au contraire, j'ai progressé entre 8 et 10 % ! Je ne ne regrette donc pas d'avoir fermé le samedi matin.

Le soutien de l’équipe marketing 

Le marketing nous aide beaucoup. Souvent, les clients ont l’habitude de prendre rendez-vous sur le site, on reçoit des mails avec des demandes de rendez-vous, des demandes de devis. Tout ça, c’est eux qui le gèrent. 

Heureusement qu'ils sont là pour le faire, car nous ne serions pas capables de mettre en place ce travail là. En amont, c’est un travail énorme auquel on ne pense pas !

La clientèle familiale 

J’ai un bon contact avec mes clients, j'aime bien plaisanter avec eux. Le matin, quand c‘est l’heure, les clients arrivent. Si je suis en train de prendre un café, je leur en propose…
Souvent, la clientèle, c'est le père, le fils, la grand-mère. Une fois qu'on s’est occupé d’un client, bien souvent la famille se greffe autour, ce qui crée un trafic important. C’est réellement un service de proximité : je m’occupe de certains clients depuis mes débuts et qui m’ont suivi jusqu’ici !

Si vous envisagez de rejoindre la franchise DELKO…

… je dirais qu’il faut se concentrer sur la relation client et le sens du commerce. Quand on est à l’accueil, il y a un trafic important et la priorité, c’est d’avoir ce côté commerçant.

Pour se mettre en confiance, le meilleur conseil c'est de se mettre en situation dans un garage DELKO, de naviguer un peu à l'atelier, voir comment ça se passe et surtout être présent au comptoir.

Recrutement de stagiaire

On n’a pas mal de demandes de stage. J’essaie de regarder au maximum les différents profils et d’en prendre. Le profil de stagiaire est intéressant, car cela leur permet d’apprendre le métier et à certains de partir en apprentissage. Je trouve ça important d’être sur le terrain, c’est super formateur.

En ce moment, j’en ai un qui fait son stage, ça lui plaît beaucoup. Il même de la mécanique. Nous lui avons permis de découvrir une passion et en plus, il est très bon !

Témoignages des clients

« Ça fait 2 ans que je suis à Istres, et donc 2 ans que je vais au DELKO d'Istres. J’ai une voiture relativement récente, donc je fais mes entretiens et les petites bricoles qu'il y a à faire dessus. Je viens deux ou trois fois par an et j'ai toujours été satisfait. Il n'y a jamais eu de problème ! Très content moi, je viens, je pose la voiture, je repars, on me donne une heure, je reviens toujours à l'heure. Là-dessus, je suis très satisfait. »

« Ça ne fait pas très longtemps que je viens à ce garage, car avant, je n'étais pas à Istres, et c'est la deuxième fois que je viens. C’est bien, franchement. L'ambiance est top, c'est convivial, c'est familial, c'est rapide en plus. Donc c'est bien, on répare vite les bêtises qu'on fait, donc c'est cool. »

« Depuis que j'ai déménagé à Istres, je vais chez DELKO Istres, mais avant ça, j'étais à Miramas et j'allais au DELKO Miramas depuis leur ouverture en 2006, donc ça fait quelques années que je suis client de DELKO !  Je viens assez souvent, au moins une fois par an pour les trois voitures. Si je viens chez DELKO et que je suis client depuis si longtemps, c'est que je suis très bien ici et que je ne suis pas déçu ! Je n’ai pas de surprise, c'est professionnel, je suis bien conseillé, il n'y a pas de souci. »

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